Création du Domaine Tête en 1921.
Jean Tête travaille pour Joseph Cartillier, en tant que tonnelier caviste (création de la maison Cartillier dans les années 1800 par Claudius Cartillier, maison de négoce de vins du Beaujolais, située à Saint-Didier-sur-Beaujeu. Jean, son fils, poursuit l’activité, puis développe cette activité de commerçant et agrandit la propriété viticole par l’acquisition de domaine en Beaujolais).
Jean Tête, est mobilisé pour la 1ère guerre mondiale, à son retour, il s’installe à son propre compte, en 1921. Il a pu fidéliser une clientèle en région lyonnaise et parisienne.
Louis Tête à repris le flambeau de son père pour développer les ventes vers la France entière. Il épouse Micheline Carillier fille de Jean.
C’est donc tout naturellement que les deux maisons de vins se rapprochent. Cet héritage familial joint à ses acquis personnels lui ont permis de posséder des parcelles renommées dont une à Moulin-à-Vent.
A la fois par la lignée de sa mère et celle de son père, il descend depuis quatre générations des 2 familles de négociants et viticulteurs, depuis toujours installés à Saint-Didier-sur-Beaujeu.
Jean fait ses premiers pas d’homme du vin sous la houlette exigeante mais affectueuse de deux personnages contrastés, mais bien à l’image des vins que produisent son grand-père maternel et plus encore de son père.
En 1977 Jean Tête reprend le flambeau de l’entreprise pour conquérir l’export.
Reprise de la gestion en 2005.
Suite à la vente de la partie négoce (Les Vins Louis Tête), tout en conservant les propriétés viticoles, étoffées au fil des générations, Justine transforme les vignobles en culture biologique, respectueuse de l’environnement et de la biodiversité.
Avec le désir de conserver et de développer le patrimoine transmis, Justine réhabilite le caveau historique et typique du Beaujolais situé à Saint-Didier-sur-Beaujeu, en domaine de réception.